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Le groupe propose un premier album qui distille une soul électro décomplexée qui n'a qu'un seul but : nous donner une envie irrésistible de danser.

Ce projet est un nouveau pont passionnant entre musique classique occidentale et musique afro-américaine. Avec sa troupe de virtuoses, Raphaël Imbert tisse deux fils rouges dans les univers d'Ellington et de Mozart, il les fait se répondre en écho, se croiser, se marier dans une même illumination. Heavens est une gigantesque jam session moderne où les ingrédients ont des origines multi culturelles : blues, musique de chambre, chanson profane, lied, thèmes sacrés, stomp, gospel, airs d'opéra... Si leurs mondes s'imbriquent si bien l'un dans l'autre, c'est aussi que les trois ambassadeurs de cette création hors du commun (Mozart, Ellington, Imbert) possèdent la même ingénuité, la même fougue, la même joie de partager.

Macklemore, de son vrai nom Ben Haggerty, est un rappeur américain d'origine irlandaise. Il travaille avec le producteur Ryan Lewis, le violoniste Andrew Joslyn, le trompettiste Owour Arunga, le pianiste Noah Goldberg et le multi-instrumentiste Zach Fleury (batterie, guitare et basse).

Le duo anticonformiste du rock, considéré comme l'un des groupes pionniers de la pop, au succès sans limite et aux millions d'albums vendus, est de retour. Après une collaboration réussie avec Franz Ferdinand (FFS) en 2015, les californiens sortent Hippopotamus, un disque produit à Los Angeles, aventureux, frais et particulièrement étincelant.

Assumer. La sensibilité débordante comme la puissance sans appel d'une mélodie à l'unisson. La part animale qui s'empare des corps et la douceur qu'il faut avoir l'audace d'arborer. Assumer de se retirer en soi pour y invoquer des mondes, s'évader pour se lancer à l'assaut de sa propre dualité. Pour composer les douze titres de son deuxième album, Hildebrandt s'est lancé dans une quête solitaire et nécessaire, à revers des normes et des injonctions préconçues. Muni des oeuvres de Stevenson, il s'est retiré dans un refuge de montagne ou sur des îles atlantiques. Dans îLeL, il explore un territoire où le masculin se déploie à rebours, où les genres se confondent et les émotions se bousculent. Par sa vitalité rouge et ses fulgurances immédiates, îLeL est alors cette invitation à s'évader en soi-même pour y déployer, enfin, l'audace de la tendresse.

Violoniste, chanteur, pianiste, arrangeur, il cumule les talents et multiplie les collaborations. Vite reconnu dans le monde de la pop moderne, il signe les arrangements de nombreux albums, parmi lesquels ceux d'Arcade Fire, The Last Shadow Puppets, Beirut, The National, REM, ou même Linkin Park. Le virtuose canadien signe ici un album à la complexité vertigineuse, au service de pop songs oniriques.

Avec son mélange de folk et d''électronica cette pépite venue d''Islande est déjà sur les traces d''illustres ainés comme Sigur Ros et The Sugarcubes.

Pour ce onzième album, Moby a fait le choix de s'entourer d'un casting vocal prestigieux : Wayne Coyne (The Flaming Lips), Mark Lanegan, Cold Specks ou Damien Jurado pour n'en citer que quelques-uns.

Trois ans après Drunk, il revient avec cet album produit conjointement par Flying Lotus et lui-même, rassemblant les contributions d'invités triés sur le volet : Ty Dolla Sign, Childish Gambino, Lil B, Kamasi Washington, Steve Lacy de The Internet, Steve Arrington de Slave, Badbadnotgood, Louis Cole et Zack Fox. It is what it is finalise la transformation de son auteur, depuis son statut de virtuose de la basse à authentique star à la voix unique et singulière, explosant les limites des genres musicaux.

La célèbre actrice oscarisée, Renée Zellweger, chante Judy Garland pour le film biopic Judy. ?Ce disque marque les 50 ans de la disparition prématurée de Judy Garland. Sur la bande originale, l'actrice convie Sam Smith pour réinterpréter Get happy, ainsi que Rufus Wainwright sur Have yourself a merry little Christmas.