12312 ROMAN (s) JEUNE (s)

La maîtresse de Lili ne fait que la critiquer, la punir, la dévaloriser. Découragée, révoltée, elle souffre et se plaint à ses parents, à ses copains...

Osera-t-elle en parler à sa maîtresse ?

Ce petit livre de Max et Lilil montre que les relations des enfants avec leurs professeurs sont faites de compréhension et de respect mutuel sans lesquels il ne peut y avoir de désir d'apprendre. De plus, la bonne entente et de confiance entre parents et professeurs rassurent les enfants et leur donnent envie de montrer leurs capacités. Dur, dur, le métier d'élève, le métier de professeur aussi !

Gaspard n'avait pas l'intention de faire l'école buissonnière.
Mais ce matin, le chemin qui va à l'école est fermé pour travaux, et la meilleure solution, c'est de faire le tour par la forêt.
Et malheuresement, dans la forêt, ce matin, il se passe des choses graves. Il y a un nain de jardin en vadrouille. Et un marcassin en détresse. Et surtout, il y a des chasseurs pas très futés qui tirent sur tout ce qui bouge et rêvent de marcassin farci.
Alors, vraiment, il ne faudra pas en vouloir à Gaspard s'il arrive un peu en retard à l'école.

Aujourd'hui, Paul n'a pas envie de manger à la cantine. Il voudrait que sa maman vienne le chercher, à l'heure du déjeuner. Il a mal partout, il ne sait pas où. Il n'a même pas faim ! Et pourtant...

En Savoie, autrefois, les maîtres d'école portaient trois plumes au chapeau... Voici pourquoi : " Pendant quatre mois d'hiver on loue un maître d'école, quelquefois originaire du pays, mais qui vient le plus souvent du Val d'Aoste ou du Briançonnais. Chaque automne voit arriver ces messieurs offrant leurs services. Ils portent au chapeau deux ou trois plumes de couleur. Selon le nombre de plumes, on sait ce qu'ils peuvent enseigner : les deux premières proposent la lecture, l'écriture, la troisième, plus rare " la chiffre ". Escorté de tous les enfants du village, l'aspirant se rend à la cure où monsieur le Curé va s'assurer de son savoir et de ses capacités morales et religieuses... "

C'est la rentrée pour Maïté, et cette année, il y a du changement : une nouvelle institutrice vient d'arriver ! Au début, AÏté et ses copines trouvent Mme Rouilly très sympa. Au début, seulement ! Car celle-ci se conduit de façon très bizarre. Et si, et si... si la nouvelle maîtresse était une sorcière ?

Aujourd'hui, Iris n'a pas du tout envie de se lever. Elle a décidé de ne pas aller à l'école et de rester à la maison avec son chien, Caramel. Pourquoi ses parents sont-ils toujours si pressés, le matin ?

Max Reiner est un businessman aussi mystérieux que les affaires qu'il dirige. Il a développé une partie de son obscur commerce en Afghanistan et au Pakistan en regroupant, au travers d'un cartel d'hommes d'affaires, des manufactures de tapis fabriqués par des enfants vendus par leurs parents miséreux. Ce commerce international remporte un succès d'autant plus important que Reiner a acheté toutes les personnalités influentes de ces pays corrompus. Lors d'un convoyage de marchandises par bateau depuis le Pakistan, le corps d'un enfant décapité est retrouvé parmi les lots de tapis. Reiner qui sent une menace peser sur ses affaires se rend sur place et fait la connaissance de Ram, l'un des gamins de la fabrique de Gwadar Kalat où les conditions de travail sont au-delà de l'imaginable. Ce meurtre est un signe adressé à ce "seigneur, roi lointain présidant aux destinées des troupes sombres aux doigts rapides". L'improbable rencontre de l'exploiteur et de l'enfant esclave va faire des étincelles. Ensemble, et bientôt rejoints par Agnès, la compagne de Max, ils vont mener une enquête, à travers les montagnes et les villages du Pakistan poursuivis par des tueurs à gages... au service d'un trafic encore plus impossible à imaginer.

L' île de feu est à la fois un grand roman d'aventures exotiques et une oeuvre fantastique. Le vampire asiatique, ou barkasaham, qui en est un des protagonistes « comme les fantômes qui se nourrissent du sang des morts, prolonge éternellement sa vie en ajoutant à ses jours ceux qu'il dérobe aux autres hommes »...
Le soir du vendredi 13 novembre 1847, alors que l'ouragan fait rage sur l'île de java, un jeune Hollandais, dont la femme est gravement malade, s'en vient frapper à la porte du docteur Basilius. Il apprend alors avec stupéfaction que le médecin, mystérieusement prévenu, est déjà en route vers sa demeure.
Mais celui-ci n'y arrivera que pour constater la mort de la malade. Fou de douleur, le jeune homme se voit proposer un pacte : en échange de la vie de sa femme - que Basilius s'engage à faire revivre -, il doit lui céder non pas son âme, mais son corps... après son suicide !
Et s'y engager sous la forme d'un testament où il annonce sors intention de se donner la mort !